Nouveau rebondissements sur la mort d’Astou Sokhna, la femme enceinte décédé à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga.
Les six sage-femmes qui ont été placés en garde à vue sont désormais fixé sur leur sort.
Les trois de l’équipe du soir sont condamnés à six mois, assortie de sursis. Les trois autres sont relaxés, c’est-à-dire l’équipe du matin. La partie civile a réservée ses intérêts.
Sous mandat de dépôt depuis le 19 avril passé, les quatre sages-femmes retrouvent la liberté.